La technique de réfraction utilisée pour la recherche du cylindre correcteur d’une prescription n’a que très peu évolué depuis de nombreuses années. La raison principale en est la limite imposée par les réfracteurs subjectifs à défilement de verres par pas de 0.25 dioptrie.
Aujourd’hui, avec les réfracteurs à variations continues de puissances permettant d’agir simultanément, et avec grande précision, sur la sphère, le cylindre et l’axe de la correction, il est possible de développer de nouvelles techniques de réfraction. Cette série de trois articles décrit les principes d’une nouvelle méthode vectorielle de détermination du cylindre correcteur et présente la logique d’un algorithme automatisé de recherche du cylindre qui lui est associé.
Article tiré du magazine "Point de vue"