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Les personnes atteintes de basse vision doivent souvent faire preuve de beaucoup de persévérance pour trouver une solution optique capable d'optimiser le peu de vision qu'il leur reste. Meg Zatorski en sait quelque chose. Souffrant de la maladie de Stargardt (une forme courante de dégénérescence maculaire juvénile héréditaire), elle a passé une dizaine d'années à chercher des verres correcteurs suffisamment puissants pour pouvoir continuer à lire. Stanislas Poussin et Anne-Catherine Scherlen d'Essilor expliquent comment ils ont relevé le défi, et ce qui doit être fait pour permettre à d'autres de bénéficier d'une solution adaptée à leurs besoins.
Article tiré du magazine "Point de vue"
