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Si l’effet de la distance verre-oeil sur la correction optique est bien connu, il est en revanche rarement pris en compte en pratique, sauf dans le cas des corrections de fortes puissances. Tant que les verres ophtalmiques n’étaient proposés que par pas de 0.25 dioptrie, cela prêtait peu à conséquence pour la majorité des corrections. Mais aujourd’hui, avec les réfractions déterminées par pas de 0.01 dioptrie(*) et les verres qui leurs sont associés, la connaissance de la distance verre-oeil et sa mesure prennent une importance toute particulière. Cet article revient sur les effets optiques de la distance verre-oeil, montre combien la distance oeil-réfracteur peut être variable et présente comment la distance verre-oeil peut désormais être prise en compte pour un calcul précis de la puissance des verres correcteurs.
Article tiré du magazine "Point de vue"

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La myopie est devenue épidémique, au point que l’Organisation Mondiale de la Santé l’a décrite comme un facteur de risque important de pathologie oculaire pouvant entraîner la cécité. Alors que les professionnels de la vue et les autorités de santé publique se mobilisent, cet article propose une approche stratégique destinée à contrôler efficacement la myopie d’un jeune patient. Cette approche repose sur trois piliers d’intervention clinique, la gestion de l’environnement du jeune myope, de son amétropie et de la défocalisation périphérique, ainsi que la prise en charge des anomalies de la vision binoculaire.
Article tiré du magazine "Point de vue"

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Il est de tradition, en optique ophtalmique, de proposer les corrections optiques par pas de 0.25 dioptrie.
Or les patients sont souvent sensibles à des changements dioptriques plus faibles. Des mesures, réalisées sur un échantillon représentatif de patients, montrent que 95% des patients sont sensibles à des changements dioptriques inférieurs à 0.25 D et que 44 % d’entre eux le sont pour des changements inférieurs à 0.125 D. Cet article partage les résultats de cette étude et montre comment la sensibilité des patients peut influer sur la précision du résultat de la réfraction. Il discute aussi les perspectives offertes par les nouvelles techniques de réfraction subjective précise et les verres ophtalmiques qui y sont associés.
Article tiré du magazine "Point de vue"

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Avec l’avènement des réfracteurs à variations continues de puissances, de nouvelles techniques de réfraction subjective peuvent désormais être proposées. L’une d’entre elles consiste en la recherche de la réfraction d’un patient au moyen d’algorithmes semi-automatisés utilisant des changements simultanés de la sphère, du cylindre et de l’axe et des pas de dimensions variables (*). Cet article en présente les principes généraux et montre comment la détermination de la réfraction peut être rendue plus précise mais aussi plus facile à réaliser par le praticien.
Article tiré du magazine "Point de vue"